Rêve de vacances anticipées. — Encore un rêve (!), dont je ne me rappelle que de quelques fragments, que je vais essayer de reconstituer du mieux que je peux... Je décide de me rendre au Québec bien avant la date prévue. Je suis chez mes parents et je constate sur le Web qu'un avion à destination de Montréal s'en va de l'aéroport de Charleroi (« Brussels South », qu'ils disent pour se la péter, mais c'est une autre histoire) en début d'après-midi... Ni une, ni deux, je décide que je serai à bord. Pas question de réserver : je demande simplement à ma mère de me conduire jusqu'à l'aéroport.
Dans la voiture, je regarde l'heure et me rends compte que l'avion devrait déjà être parti. Je dis à ma maman, assez fier, quelque chose comme : « Tu vois ? Moi, je me fiche des horaires ! Je défie les horloges ! » Ma mère me dépose non pas à l'aéroport mais dans une gare, puis s'en va... Peu de temps après, je réalise que j'ai déjà payé un billet pour le mois de septembre et non pour le mois de mai, et qu'en plus je suis censé partir avec Flippo. Je téléphone donc à ma mère et lui demande, un peu déçu, de venir me rechercher. Je termine l'appel par : « Ce que j'étais en train de faire n'avait strictement aucun sens car ce n'est pas maintenant que je pars... Et je perdrais énormément d'argent si j'agissais de cette manière. »
Smog. — Est-ce moi qui suis très sensible des voix respiratoires ou y a-t-il réellement un problème avec l'atmosphère, ce matin, dans les hauteurs de Forest ? Sur le court trajet séparant mon domicile de la station de prémétro, au milieu d'un épais brouillard, j'ai le souffle court et l'impression d'étouffer (un rappel des crises d'asthmes de mon enfance)... L'air que je respire ne sent en tout cas pas très bon ; il me paraît presque vicié... — Je m'imagine dans quelques années, suivant l'exemple des habitants de certaines mégalopoles, porter en permanence un masque lorsque je marche dans la rue... — Non, non, NON ! Cassez-vous des centres urbains, putain de bagnoles à la con !