Cerise sur le gâteau (façon de parler) : le chanvre est omniprésent, forcément. Et aussi l'alcool. Et aussi les soirées "jeux" jusqu'à pas d'heure (Amy est une fan inconditionnelle de jeux de société) : Cranium, Mr Jack, Time's Up, belote, Agricola, Kezako... Ce dernier est assez intrigant ; le but : faire deviner un mot en utilisant des perles et des baguettes. Amy est un rouleau-compresseur à ce jeu. Par exemple, elle arrive à trouver le mot "vase" en une seule baguette. Et "cheminée" en deux baguettes. Comment fait-elle ? Mystère, mystère...
Archives mensuelles : août 2011
Une belle bâtisse (week-end à Hanzinne #1)
Le gîte est entouré d'une belle propriété coupée par une route : d'un côté une pelouse donnant sur un champ, avec un beau terrain de pétanque ; de l'autre une cour intérieure, avec une "grange" où trônent un "kicker" et une table de ping-pong ; enfin un petit carré d'herbes entouré de haies, sur lequel sont déployés une piscine et un trampoline.
Week-end à Hanzinne
la publication différée ! –, je devrais normalement être arrivé au gîte qu’ont
loué Amy et Zapata à Hanzinne, dans l’Entre-Sambre-et-Meuse, à une dizaine de
kilomètres de la maison de mes parents. Dans un mois, le couple part en voyage
pour un certain temps – pour ne pas dire un temps certain – et a décidé de
faire ses "adieux" en invitant plein de monde pendant une semaine
dans cet énorme gîte.
jour pour l’occasion, avec tous ces gens de passage. J’imagine déjà le
topo : tables de jeux de société, bières, vins, rhums, musique ska-punk ou
psychédélique (selon le DJ) en fond sonore, joints qui tournent en permanence
ou presque, personnes qui passent en coup de vent, personnes qui restent durant tout le séjour, etc.
J’imagine aussi une ambiance totalement différente de mes vacances à Stavelot.
– que ce genre de week-end festif me redonnera le moral. Je risque de croiser de
vieilles connaissances et même de rencontrer de nouvelles têtes (et ça, c'est très positif, comme dirait Léandra).
Anti-journal
au réveil, le miroir me renvoie comme chaque jour un noble et beau portrait : mes
cheveux (qui en disent plus long sur mon état psychologique qu'un test de
Rorschach) sont naturellement bien coiffés, mon visage est luxuriant – sans au-cu-ne
cerne s'il-vous-plaît ! –, mes yeux sont pétillants de joie de vivre. C'est moi
tout craché : reposé, confiant dans
l'avenir, sûr de moi ! La journée s'annonce excellente, comme toujours. Excellente ! Faut dire aussi que je suis d'un
optimisme patenté : ça énerve même certains de mes amis, mais tant pis pour eux
s'ils voient toujours le verre à moitié vide ! Je n'y peux rien, je suis comme ça. Un jour, ils
arriveront à voir le verre à moitié plein, eux aussi !
au boulot est extrêmement intéressante (toutes les matinées le sont) : Lodewijk et moi revissons les boulons de vieilles bibliothèques métalliques qui ont
tendance à pencher un peu trop de tous les côtés. Certaines ressemblent même à la Tour de Pise !
J'adore bricoler, tout comme mon papa : ça me détend, ça m'éloigne de ce que je
fais au bureau, à savoir des activités par trop intellectuelles (je
n'aime pas me poser trop de questions). J'ai un chouette travail cela dit, à Liège
certes mais un "vrai" job d'attaché scientifique, comme on n'en trouve pas
beaucoup après des études en histoire ! Mon après-midi est tout aussi agréable que
la matinée... Je retravaille sur l'organigramme dont je parlais déjà hier dans
ce même journal : il faut que je rechange totalement tout son agencement, mais
ce n'est pas grave, je comprends : Rome ne s'est pas faite en un jour, comme on
dit !
devais aller au cinéma (pour voir Melancholia
de Lars Von Trier) avec Léandra, Emily, Andrew et même Walter, mais les
intempéries – je l'apprendrai plus tard – ont empêché mon train direct
d'arriver à temps à Bruxelles. Le cinéma est annulé, par ma faute. J'ai le choix
entre deux plans de rechange : soit me rendre du côté du Cimetière d'Ixelles
pour rejoindre Emily, Andrew et Walter (ce dernier "n'a pas envie de bouger", c'est compréhensible), soit rester dans "mon
quartier". J'aurais été heureux de rejoindre les autres, surtout parce que
Walter était là et que j'adore quand il parle de son boulot, de sa voiture et
des projets géniaux que nous réservent les disciples de Milton Friedman, mais tout
compte fait, ayant eu une journée intéressante mais cependant assez crevante,
je décide d'aller simplement prendre un verre au Parvis, comme d'habitude
(c'est chouette, les habitudes, les routines…). Emily m'enverra par sms que je
suis un "lâcheur" et que "c'est le début de la vieillesse".
C'est vrai et j'en rigole tout seul dans le train.
me rejoint au Parvis. Elle aussi respire la joie de vivre, pour le
moment. Elle a eu quelques problèmes avec son dernier amoureux en date, Jonas,
mais tout ça est derrière elle désormais... Elle n'y pense plus. Elle a clairement fait une
croix sur ce gars. Elle me ressemble fort sur ce point, même si j'ai moins
d'expérience qu'elle : une fois que c'est fini, c'est fini. Léandra ne pense pas au passé : tout son corps, tout
son esprit est dirigé vers l'avenir. Mieux : elle vit l'instant présent. Durant la soirée, nous ne parlerons
d'ailleurs pas une seule seconde de Jonas, ni des autres. Si ça avait été le
cas, ça m'aurait énervé et j'aurais eu envie de la secouer en lui criant :
"Mais arrête de te prendre la tête avec ce type, il n'en vaut pas la
peine, bordel !" (en fait, me connaissant, je n'aurais sans doute pas dit
ça comme ça). Mais ça n'a pas été le cas de toute façon, donc pourquoi se prendre la tête avec des "si" ?
passé une fin de soirée calme et improvisée chez Léandra autour d'un plat de
pâtes. Pas d'ordinateur allumé : ça fait du bien de se déconnecter du réseau.
Nous n'avons donc pas compulsé les statistiques Web de nos blogs respectifs. Ce n'est pas plus mal, je pense : qu'aurions-nous pu y trouver de toute façon ? Que des
gens de la Communauté française (de la Fédération Wallonie-Bruxelles, plutôt)
nous suivent ? Qu'une personne à Antony (France) a lu ce blog avec une certaine assiduité
? Que quelqu'un des alentours de Mons tape le nom de Léandra sur Google de
manière récurrente ? Voire même que je suis lu par un scout ? Je n'en saurai
pas plus aujourd'hui en tout cas.
meilleur des mondes possibles.
Statistique Web mon amour
fanatiques de statistiques, de leurs
statistiques à vrai dire : qui sont ces anonymes qui lisent leur blog ? Combien
sont-ils ? D’où viennent-ils ? Quels mots-clés utilisent-ils ?
Combien d’articles lisent-ils ? Combien de temps restent-ils ? Sont-ils/elles
célibataires ? Sont-ils des humains, des mutants ou des extraterrestres ? Pourquoi les éléphants d’Asie ont-ils de plus petites
oreilles que les éléphants d’Afrique ? Etc.
ne m’intéressait pas trop. J’ai quand même fini par relier un profil "Google
Analytics" à chacun de mes blogs. Puis, J’ai commencé à prêter une certaine attention aux statistiques de
fréquentation… Faut dire pour ma défense que ces statistiques sont parfois assez
bizarres, marrantes, surprenantes, voire les trois à la fois.
temps et de motivation), certains mots-clés de recherche valent le détour. Un
exemple de combinaison qui revient de temps à autre :
"Alcoolisme et homéopathie". Dans ce cas précis, je serais bien
curieux de connaître les questions que se pose ce très bref visiteur... Veut-il
savoir s’il peut combiner l’absorption massive d’alcool avec un traitement homéopathique ?
(Dans ce cas, la réponse est clairement oui, car ça équivaut tout
bêtement à se demander si l’on peut combiner de l’alcool avec de l’eau sucrée.)
Ou veut-il plutôt savoir si l’on peut guérir l’alcoolisme avec un traitement
homéopathique ? (Auquel cas la réponse est clairement non car les remèdes
de charlatans ne fonctionnent pas, hein – c'est la vie, c’est comme ça ! –, sauf peut-être sur un plan
purement psychologique.)
goût du concombre ?" (Réponse : tu ne peux pas, gamin, car un concombre n’a pas de goût) ; "Compter les lettres des mots
comme un arithmomane autiste" ; "Est-ce que les cheveux blanchissent ou poussent
blanc ?" (Réponse : d’après ce site, les cheveux poussent blancs
ou colorés, et ne deviennent pas blancs "en cours de route") ; "Nombre de marches
pour monter jusqu'au Mont Hua" (Réponse évasive : ha, mais tout dépend du
chemin que l’on emprunte !) ; et enfin le très beau : "Quel est le clip
musical où il y a une fermière qui dort avec un petit robot qui lui marche
dessus ?" (Réponse : hein ?)
Hier, dans la même logique, Léandra et moi, on s'est demandé qui allait voir ce journal depuis le site (physique) de l'Université de Liège (oui, nous pouvons voir ça aussi !). Vu qu'une des recherches de pages portait sur le pseudo "Jonas", j'ai d'abord cru qu'il s'agissait de Jonas lui-même (l'ex de Léandra), par des moyens détournés (il est chercheur, pas dans cette université, mais on ne sait jamais !). Aujourd'hui, j'ai remarqué que la personne en question était aussi allée voir pour "Yama", "Pietro" et "Amy" (trois personnes clairement connectées socialement). Et là, je me suis dit : cette personne de l'Université de Liège, ça doit être ma camarade navetteuse Yama herself, tout compte fait... (Ajout plus tardif : Yama était d'ailleurs dans le train du soir, soit dit en passant, mais je ne lui ai pas posé la question.)
J'ai bien fait de poster ces histoires de statistiques aujourd'hui car je n'ai pas grand chose à raconter. Je suis revenu d'une journée de boulot passée à réaliser un organigramme assez complexe sur la SRIW (Société régionale d'investissement de Wallonie) et ses filiales, pour aider mon collègue qui travaille à plein temps sur ce sujet (ça a l'air casse-tête, au vu dudit organigramme). On est allé manger en terrasse ce midi entre collègues, profitant du beau temps. Charlotte a (comme elle en a l'habitude) passé son temps à s'auto-détruire et à critiquer tout ce qu'elle écrivait (alors qu'elle a une très belle plume) ; les autres ont encore parlé d'horoscope : comment arrivent-ils à croire à cette daube ? Ça me dépasse totalement.
Et voilà ! Je ne suis tellement pas en forme ce soir que je pense que je vais aller me mettre dans mon lit et tenter de m'endormir en lisant un livre. Misère...
Le crépuscule du Chicomuceltec
sismiques, volcans qui se réveillent, attaques au
révolver ou à la machette (!), vols caractérisés, séquestrations (seulement quelques heures, "rassurez-vous",
qu'ils disent...), prises d'otages, viols, meurtres, narcotrafiquants dans la jungle, sites
archéologiques en état de siège (!!), virus abominables (comme la dengue), abductions par des Zeta-Réticuliens (?), vortex temporels, tsunamis gigantesques, attaques de zombies (??), etc.
"boss" – il déteste qu'on l'appelle comme ça – est pourtant revenu en un seul
morceau. En fait, ce site Web de l'Ambassade de France, c'est un peu comme les effets
indésirables sur la notice d'un médicament : "ils" sont obligés de marquer tout
ce qui peut arriver, même si, en prenant certaines précautions (par exemple : éviter certains
villages et ne pas trop montrer ses "objets de valeur"), le risque est relativement faible.
(deux gars au regard inquiétant et armés de machettes qui les attendaient, cachés sur le bas-côté d'une route de village, un chauffeur de tuk-tuk leur faisant clairement signe de rebrousser chemin – ha ouais, quand même !), Lodewijk
n'a rencontré que des gens charmants, me dit-il. Il a pu découvrir de beaux
sites mayas (moins décorés néanmoins que ceux qu'il a vus au Mexique), des
villages reculés avec des habitants en costume traditionnel très coloré, un
folklore préservé...
autochtones parlent une série impressionnante d'anciennes langues mayas (le K'iche' est parlé par plus d'un million de personnes, soit plus d'une personne sur quinze), mais certains
dialectes disparaissent totalement hélas, comme le Chicomuceltec. Faudrait amener un magnétophone dans ce
pays (et dans beaucoup d'autres d'ailleurs), avant que d'autres langues ne s'éteignent !
j'étais censé me reposer (ouais, c'est ça !) mais Emily propose d'aller
prendre un verre en terrasse, vu qu'il fait beau dehors. Rectification : vu qu'il ne fait pas trop moche dehors. C'est très tentant. Direction
donc (à nouveau) le Parvis de Saint-Gilles. Je me retrouve ainsi au Sikou avec Emily et Andrew. On mange une crêpe (Andrew reprendra même une glace, après). Je bois raisonnablement (paraît que je fais une fixation sur l'alcool pour le moment, dixit Léandra : Andrew et Emily ont l'air de confirmer). Walter nous rejoint en fin de soirée. On repart tôt (je ne m'en plains pas : ça change de ces soirées tard le soir en semaine à 4 bornes de chez moi ; en plus, je suis crevé). Léandra passe son tour. J'ai néanmoins eu l'occasion de discuter un peu avec elle cet après-midi des statistiques bizarres de nos blogs (j'en ferai un sujet ici-même, très bientôt).
Chooz devant !
(Amis des jeux de mots à deux francs cinquante,
bonjour !)
(Zut, après vérificationS, je me rends compte que je ne suis même pas le premier à le faire, celui-là... C'était prévisible, cela dit...)
"immenses" m’impressionnaient. Aujourd’hui, c’est toujours un peu le
cas mais pour une raison différente, qui touche aux expérimentations toujours un
peu "borderline" (pour reprendre un terme à la mode) sur la fission de l’atome... Des expériences
d’apprentis-sorciers, symptomatiques de la perpétuelle tentation des
humains d’usurper leur "simple condition" et de dresser la nature, de jouer à la magie avec les atomes, de
les contrôler sans réellement les contrôler... (Marrant : je pense avoir déjà parlé de cela avec Andrew il y a quelques mois.)
"demon core", toutes deux fatales, à cause d'un accident de criticité. Le "rêve nucléaire"
peut très rapidement se transformer en cauchemar quand on n’y fait pas
gaffe (enfin, bon, ils travaillaient sur une bombe, ces gars-là...). Je pense aussi à l'aspect "magique" (façon de parler) des rayons ionisants. De retour chez moi (en soirée) je retrouve une vidéo de démonstration d'un réacteur nucléaire expérimental, qui m'avait impressionnée il y a quelques mois : les techniciens enlèvent toutes les barres de contrôle du réacteur d'un coup, initiant en quelques millisecondes de nombreuses réactions en chaîne. L’eau devient toute bleue, non pas à cause d’un
quelconque éclairage, mais à cause de l’effet Vavilov-Čerenkov, durant lequel certaines particules se déplacent plus vite que la lumière, non pas sur un plan absolu mais dans un milieu donné.
Repas familial
Belote, rebelote et dix de der !
Questions existentielles sur l'Orval
L'explication de ce curieux masculin résiderait dans la légende d'Orval et correspondrait à un "mot" de la comtesse Mathilde qui en 1070 aurait retrouvé son anneau nuptial grâce-à-une-truite-sortie-d'une-source-etc.-etc. (j'aime bien les tirets aujourd'hui) : "Désormais et pour toujours, je voudrais qu'on appelle [cet endroit le] Val
d'or". Un val d'or = un Orval ; des vaux d'or = des Orvaux. Mouais... Autant pour Orval, je me dis que oui, "pourquoi pas ?" (on dit bien un Lambic et un Faro), autant pour "Orvaux", ça me semble tiré par les cheveux : Orval étant un nom propre, j'aurais tendance à dire : un Orval, des Orval. Bref, la question reste en suspens.
Conclusion : face à un Gaumais, par esprit de contradiction, je dirai une Orval. Et devant les autres, je dirai un Orval, juste pour faire le malin. Bah oui, dire "un Orval" autre part (à Bruxelles, par exemple), c'est un peu faire l'intéressant et montrer qu'on ne fait pas partie du commun-des-mortels-qui-prononce-une-Orval-mais-quelle-honte-mon-bon-Monsieur. C'est un peu comme ces gens qui nous reprennent parce qu'on dit "à Avignon" alors-qu'il-faut-dire-en-Avignon-ouaip-c'est-comme-ça-moi-je-sais-et-c'est-tout. Bref, tout ça n'a pas beaucoup d'importance, en fait.
N'empêche (j'en rajoute une couche), lancer devant un membre de la Confrérie des Sossons d'Orvaulx, fier et heureux du goût unique de la noble bière trappiste de son "pays" : "Une Orval, quand même, c'est un peu comme une jup' mais en un peu plus ambré", ça doit faire son petit effet...
Pourquoi a-t-on eu du mal à trouver de l'Orval ces derniers mois ? Grand mystère ? En tout cas, tous les buveurs d'Orval en Belgique se sont sans doute rendu compte de cette pénurie. Aucun Orval dans les magasins, difficile d'en trouver aussi dans les cafés... Lors de mon séjour à Stavelot, un cafetier a avancé le fait qu'ils avaient "raté un brassin". Est-ce possible ?
Une réponse différente se trouve dans le magazine Café Revue de février 2011 et semble plus proche de la réalité, vu qu'elle prend pour source d'information les brasseurs eux-mêmes. La principale explication avancée par Frère Xavier (administrateur délégué) et Francis de Harenne (directeur commercial) tient dans l'augmentation de la demande de ce type de bière spécifique (une bière trappiste de très haute qualité) et aussi dans la volonté des moines brasseurs de ne pas augmenter la production, leur "chiffre d'affaire" convenant parfaitement au mode de vie de l'abbaye...
Toutes ces questions ne m'empêcheront pas de clamer haut et fort que cette bière d'Orval, avec son amertume si particulière, sa faible teneur en alcool, sa belle robe et son vieillissement très particulier, est une des meilleures bières que j'ai jamais eu l'occasion de goûter (et Dieu m'est témoin – façon de parler : j'en ai dégustées, des bières).
Je retourne en train à Bruxelles pour une nuit. Je passe la soirée au Verschueren avec un Andrew totalement crevé de sa semaine. Je bois quatre Orval (Orvaux ? Orvaulx ? Orvals ?) en un peu plus de deux heures... C'est trop. D'après Andrew, les bières belges sont fortes si on les compare avec celles d'autres pays... Y compris l'Orval, avec ses petits 6,2% d'alcool – une valeur intermédiaire, qui dépend du temps passé en bouteille, si l'on fait confiance à ce site. En écrivant cela, je repense à cet article du Soir : "Le Belge boit 78 litres de bière par an". En moyenne, c'est déjà pas mal, considérant ceux qui n'en boivent pas du tout, etc. Et puis, je pense à ma consommation personnelle... Combien, sans mentir ? Cinq bières spéciales par jour, en moyenne, on va dire ? 5x33x365=60.225 centilitres, soit 602 litres de bières par an. Mon dieu – façon de parler, encore une fois –, ayez pitié de moi !
Un rêve d'amateur d'Orval, esquissé par Andrew : avoir mon propre verre, en cristal, avec un "Hamilton" gravé dessus et l'anneau en or incrusté... On se dit que ce serait un beau cadeau de mariage. Ne reste plus qu'à trouver la mariée...
Deux voitures de police passent, empruntant des routes différentes. Discussion : comment interprète-t-on le code de la route dans le cas d'un accident mettant en scène deux voitures de police faisant marcher leur gyrophare ? Elles ont clairement la priorité sur les autres véhicules mais... entre elles ? Une voiture avec gyrophare doit-elle céder la priorité de droite à une autre voiture avec gyrophare ? Toutes ces questions se perdront dans l'oubli, comme les larmes dans la pluie (j'adore la ressortir dès que j'en ai l'occasion, celle-là).