Révolution copernicienne

Ce dimanche, je reste dans mon lit jusqu'à une heure avancée de l'après-midi. Puis, je me rends à la Maison du Peuple, tout seul. Puis, je me rends chez Léandra, pour un cas de force majeure. Puis on revient manger à la Maison du Peuple (des pastéis de nata, qu'ils ont oublié de chauffer, pour moi et une lasagne dégueulasse pour elle). Andrew nous a rejoints entretemps. Léandra s'en va vers 21h44. Très chouette discussion avec Andrew en fin de soirée : sur Alain Finkielkraut (ah, voilà, j'ai enfin réussi à le placer dans ce journal, cet énergumène : un peu comme "phylloxéra" ou "prolégomènes"), sur la vie, l'univers et le reste. Andrew reprendrait bien des études de socio/anthropo. Moi, ce serait plus des études de psycho. J'ai en tête l'idée d'une révolution copernicienne. J'y pense, j'en parle. Tout le monde est d'accord avec le concept, mais comment l'appliquer réellement, cette putain de révolution à la con ? Déplacer le centre du monde, ce n'est pas une mince affaire.

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